Le chant du lys

De la plus haute
insignifiance

Retracer
l’encre du silence
pour le corps (aventureux)
du contexte.
Je reprends sens
sur les couleurs du sujet
les mots font lignes
les signes font taches

De silences.
Je suis le crochet qui zigzague
vers
les sources
du regard (hasardeux)

(qui plonge dans le texte qui est raconté,

au lieu de raconter). L’écume

qui jouit sur la moisissure
du vivant.
L’unique pensée
diagonale
verticale
vertébrale,
qui se particularise

en modulations ultimes.
Réversible pour la forme.
Irréversible dans l’éclatement
sensitif.
L’errance de son souffle
métaphorique redondance
atomisation neuronique
sensualité

crispation
itinérante.

Verbalisation qualificative.
Je reprends sens
sur le sujet imagé
l’écran fait la perspective
l’atmosphère fait l’émotion

Du biologique.
Temporalité qui s’accroche
à l’horloge scripturale,
qui abolit
les répulsions
Mémorisables

désirs.

Les pourtours de la ville dorment.
Et le fait vagabonde
dans l’obstacle
des yeux intérieurs
Et s’y enlace vers ailleurs.

Transitoires indélébiles…………………………………..
La foudre fractale s’immobilise
sur elle-même
à rebours sur ses papilles.

Je perds sens
pris sur le fait
d’être ailleurs
Dans le non-absolu

du vide.

Les gestes jaugent l’empan du rire.
Coriaces récidives
du vouloir.
L’onde sonore
aplanit
les airs sidéraux
enclume coincée
entre fait
et geste.

Le monde fait acte
l’univers fait montre
la censure défait
le sens et la mort.
L’aberration régénérée
l’éternité en importation

L’exotisme apprivoisé et
fin familière
pourvoient les sexes
des anges d’intentionnalités.
Le sujet assujettit au sens ne pourrait que mourir d’une mort sensuelle.

En beauté érectile.
En vie textuelle.

En décès factuel.

à l’intérieur (du germe)
la rose fane.
le lys gobe
les fractions.

Fuites
en abîme (?)
vers l’autrement.
L’autre sens du sujet. -même.
Glaces déteintes.

L’étranglement de nos yeux
ajournent les larmes hiéroglyphiques,
auditives.
Réverbérations monocordes.

La mort n’a qu’un sens

Celui de ne pas en avoir.

L’autre
est mortel.

C’est toujours dans l’autre
que nous mourrons
i r r a d i a n t s.

Réverbérations cognitives.

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